mercredi 1 septembre 2010

"... j'ai vu l'étoile du soir se lever sur les grandes ruines d'Angkor"

Comme beaucoup d’autres voyageurs avant nous, nous sommes tombés sous le charme des ruines d’Angkor.
On est impressionné par l’étendue du site qui regroupe les temples successifs des rois Khmers du IXème au XIIème siècle. Chaque temple était entouré de sa capitale dont il ne reste souvent que des traces. On estime à presque 100 000 personnes la population à l’époque.
On est séduit par ces ruines perdues dans la jungle. Même si Angkor est probablement un des sites les plus visités en Asie, on se retrouve facilement seul dans les temples envahie par la végétation.
En trois jours, nous n’avons visité que les plus grands temples…




Les tours d’Angkor Wat sont l’emblème du pays, présentes du drapeau national jusqu’aux étiquettes de bière en passant par les T-shirts des touristes. En plus de mériter tous les superlatifs pour sa taille et sa complexité, le temple est aussi un des plus richement sculpté. Les galeries de bas-reliefs narrant des scènes de l’histoire ou de la mythologie brahmanique sont époustouflantes de détails et de précisions.

















































Les portes d’Angkor Thom avalent le visiteur dans l’enceinte de l’immense capitale.






































Le temple de Bayon avec ses visages mystérieux est l’autre image classique d’Angkor. C’est l’exemple type du « temple-montagne », représentation symbolique du Mont Meru.






































L’incontournable Ta Prohm, dont la végétation a volontairement été préservée, est l’image du temple englouti par la jungle, où les racines sont enchevêtrées au milieu des pierres.





























Banteay Srei est un petit temple plus éloigné du site principal dont la richesse des bas-reliefs avait attiré la convoitise de Malraux. Sa construction en grès rose, en plus de l’aspect esthétique, a permis aux plus fins détails de résister à l’érosion.












Mais on découvre aussi Banteay Kdei, Preah Khan et Bakong…









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