lundi 30 novembre 2009

Perou

apres de bien longues heures de bus nous voila arrives au Perou. notre prochaine etape sera Trujillo. On vous promet bientot plus de nouvelles et de photos.

samedi 28 novembre 2009

Baños, Riobamba

Après nos exploits d'Andinistes, nous descendons tranquillement vers le sud en direction du Pérou. Nos premières étapes étaient Baños et Riobamba.



Baños est une petite ville coincée au pied du volcan (très) actif du Tungurahua, dans une vallée profonde, passage vers l'Amazonie. Au programme : ballades autour de la ville et surtout baignades dans les bains d'eau soufrée qui en font la réputation.

Puis direction Riobamba, au pied du volcan le plus haut d'Equateur : le Chimborazo (6310m).


Nous avons passé une journée dans la réserve au pied du volcan. Cette fois, nous avons été moins courageux : nous avons seulement rejoins le plus haut des 2 refuges à 5000m (en partant du premier situé 200m en contrebas...). C'est quand même 5000m !



La ballade au pied du volcan est surtout sympa pour l'observation des troupeaux de vigognes qui prolifèrent dans la réserve. C'est un animal à mi-chemin entre le lama et l'antilope, non domestiqué, plutôt joli et gracieux.


On rencontre aussi en chemin des lamas et des alpagas.



La prochaine étape est Cuenca, puis la frontière...

mercredi 25 novembre 2009

mardi 24 novembre 2009

Haroun Tazieff (part II)

Avant de rejoindre les volcans, petite pause ballade dans la région de Papallacta (la terre des pommes de terre en Quechua) aussi connue pour ses sources d'eau chaude... et ses truites grillées.












L'étape suivante était les volcans Illinizas dont nous avons gravi le sommet nord (5126m : premier 5000m !!!) dans les graviers et le sable rouge. L'ascension du sommet sud dans les rochers et la glace semblait trop difficile pour nous...










































Enfin l'objectif de la semaine, pas dans les nuages : le Cotopaxi (5897m), volcan actif le plus haut du monde !








un loups des Andes ... presque apprivoisé


On se prépare à passer la nuit en refuge à 4800m avant l'ascension.


La vue depuis le refuge (encore le loup des andes et le yeti ?)









L'ascension débute à 1h du matin dans la nuit noire, à la frontale... à 6h les premières lueurs du jour apparaissent à 5600m. Les 1100m de dénivelé depuis le refuge apparaissent mal sur la photo ... mais on peut vous dire, qu'au dessus de 5000m chaque pas compte !



... et enfin la récompense... les photos parlent d'elles-même ! et oui, les Playmobils (qui n'ont toujours pas de nom) y étaient aussi !




















à la descente on perçoit mieux le décor dont on n'avait pas vraiment profité à la montée ! (uniquement à cause du noir bien sûr)



vendredi 20 novembre 2009

Haroun Tazieff (part I)

Avant de partir à l’assaut des volcans, un détour s’imposait par le « Mitad del mundo » … le milieu du monde ou plus simplement l’équateur (avec une pensée émue pour Mike Horn).



Notre premier jour de randonnée avait pour but de débuter notre acclimatation à la haute altitude. Pour cela, le premier objectif (dans les nuages) était le volcan Pichincha (4794m) à quelques kilomètres de Quito. L’ascension se fait en pick-up jusqu’à 4000m, c’est à nous de jouer ensuite. Nous découvrons les effets de l’altitude : le souffle court, le cœur rapide mais les jambes bien en forme… au dessus de 4500m, la tête devient vraiment lourde et chaque pas demande de reprendre son souffle. Finalement ça passe, le guide nous traîne même vers le deuxième sommet (qui n’apparait pas sur les cartes) à 4900m.







C’est notre journée de repos, avec ballade dans Otavalo, situé au nord de Quito, et connu pour son marché. Fred tente le scarabée grillé …









L’ascension du volcan Imbabura (4609m) commence à travers les champs de pommes de terre à 3200m. Le sentier montre tout droit à travers la pente : c’est la route pour les lamas qui contrairement aux ânes et aux chevaux n’ont pas besoin de faire de lacets dans la pente.






La deuxième partie de l’ascension se fait dans les nuages, qui camouflent les pentes vertigineuses du volcan éteint. Au sommet les nuages laissent passer quelques rayons de soleil. Nous sommes ravis de constater que nous semblons nous adapter plutôt bien à l’altitude.